| Bonjour 👋 Nous sommes le jeudi 3 décembre. On commence cette newsletter avec la disparition de Valéry Giscard d'Estaing. L'ancien chef de l'Etat est mort hier soir à l'âge de 94 ans. Le troisième président de la Ve République, resté à l'Elysée de 1974 à 1981 avant d'être battu par François Mitterrand, était hospitalisé à Tours depuis la mi-novembre. Retour sur le parcours de celui qui se voulait le plus moderne des présidents. |  | L'ancien chef de l'Etat est mort à l'âge de 94 ans. (Reuters) |
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Covid-19 : en attendant les vaccins, voici où en est la recherche sur les traitements |  | Lire la suite |
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Anticiper | LES INFOS DU JOUR | Castex en conférence de presse, Macron en interview, les handballeuses en embuscade |  | Jean Castex présente aujourd'hui la stratégie vaccinale du gouvernement. (Reuters) | 1. Qui vacciner, quand, et comment? Ce sont les questions auxquelles Jean Castex s'efforcera de répondre aujourd'hui lors d'une conférence de presse. Objectif : détailler la stratégie vaccinale du gouvernement. Pour en savoir plus, rendez vous plus bas dans votre topo d'actu. 👇
2. Il veut s'adresser à la jeunesse. Emmanuel Macron accorde une interview, aujourd'hui vers 16 heures, au média en ligne Brut. Un entretien en direct prévu pour durer entre une heure et une heure trente, qui sera également diffusé sur les antennes de franceinfo. Envisagée au moment du discours des Mureaux, le 2 octobre, cette intervention avait été repoussée depuis.
3. L'Euro féminin de handball débute. Sans repères faute d'avoir pu jouer un seul match préparatoire, l'équipe de France de handball, tenante du titre, vise le dernier carré du championnat d'Europe après un échec douloureux au Mondial 2019 (13e). Les Bleues commencent cet Euro par un match demain contre le Monténégro (18h15 sur TMC et beIN). |
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| NOTRE TOPO D'ACTU | Pourquoi la campagne de vaccination grand public ne commencera en France qu'au printemps |  | Emmanuel Macron envisage une campagne de vaccination grand public qui démarre "entre avril et juin". (Reuters) | Quand l'Europe va-t-elle approuver les premiers vaccins? La validation a été très rapide. Le Royaume-Uni est devenu hier le premier pays au monde à approuver le vaccin de Pfizer et BioNtech. Les autorités sanitaires américaines devraient, elles, rendre leurs conclusions aux alentours du 10 décembre pour le vaccin Pfizer/BioNtech et du 17 décembre pour celui de Moderna, qui affichent tous deux un taux d'efficacité proche de 95%. L'Agence européenne des médicaments (EMA) doit, pour sa part, se prononcer le 29 décembre "au plus tard" sur le vaccin du tandem américano-allemand, et d'ici au 12 janvier sur celui de Moderna. Ce sera ensuite à la Commission européenne de donner son feu vert pour la distribution. Les Etats membres seront également consultés. Mais l'approbation finale ne devrait être qu'"une question de jours" après la recommandation de l'EMA, a indiqué un porte-parole de l'exécutif européen. Pourquoi la campagne de vaccination grand public ne commencera-t-elle qu'au printemps? Dans un premier temps, les gouvernements européens de chaque pays n'auront, en effet, que très peu de doses de vaccin et ne pourront vacciner que les personnes prioritaires. La France pourrait n'avoir qu'une dizaine de millions de doses de vaccin au premier trimestre. Soit de quoi vacciner seulement 5 millions de personnes. Or, le public considéré comme prioritaire (phase 1 et 2) par la Haute autorité de santé comprend déjà plus de 15 millions de personnes (résidents des Ehpad et leurs soignants dans un premier temps, puis les personnes âgées et les personnels sanitaires). C'est seulement après ces deux phases que pourra être envisagée la vaccination des autres publics (les plus de 50 ans, les moins de 50 ans à risque, les personnes dont le métier favorise une infection, les personnes vulnérables et en précarité, et, enfin le reste de la population).
👉 Si vous voulez tout comprendre à ce sujet, cliquez ici.
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| NOTRE INFO EN PLUS | 55% des salariés estiment que "la vie sociale avec les collègues est la première raison de se rendre au bureau" |  | Les tours de la Défense en région parisienne. (Sipa) | Le coronavirus n'a pas encore tué le bureau, mais il a bouleversé la vie des salariés, et généré des attentes fortes, notamment en matière de télétravail et de lien social. C'est ce que montre le 7e baromètre Paris Workplace dévoilé aujourd'hui. Juste avant les deux confinements, l'Ifop, pour le compte de SFL (Société foncière lyonnaise), a interrogé 3.000 Franciliens – Paris et petite couronne – travaillant dans un bureau au sein d'une entreprise d'au moins 10 salariés. Il en ressort que 86% des salariés souhaitent télétravailler au moins un jour par semaine.
i ce chiffre est resté inchangé entre les deux vagues, l'expérience du confinement a cependant accru le "nombre idéal de journées télétravaillées", qui passe de 1,5 à 2,1 jours par semaine en moyenne. Néanmoins, 63% des salariés souhaitent travailler la majorité de leur temps en présentiel (au moins trois jours par semaine). Car le confinement a aussi renforcé le rôle social de l'entreprise : 55% estiment que "la vie sociale avec les collègues est la première raison de se rendre au bureau" (+8 points). Les moins de 30 ans sont même 55% à considérer que leurs collègues "sont aussi des amis". 👉 Pour en savoir plus, cliquez ici.
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